mardi 24 septembre 2013

130924 - FILM TV - Cellule 211


  • Date de sortie
     (1h 53min
  • Réalisé par
  • Avec
  • Genre
  • Nationalité

    Synopsis et détails

    Interdit aux moins de 12 ans 
    Soucieux de faire bonne impression, Juan débute un jour plus tôt son nouveau travail dans une prison de haute sécurité. Mauvais timing ! À peine arrivé, il se retrouve au cœur d'une émeute. Personne ne le connaît et le hasard va lui permettre de se faire passer pour un prisonnier. Il peut ainsi approcher le leader de l'insurrection. Quand des membres de l'ETA sont retenus en otage, l'affaire prend un tour politique et le gouvernement s'en mêle.

130924 - TRAJET - CRANVES SALES / LE CHEYLAS / CRANVES SALES


dimanche 22 septembre 2013

130922 - MUSIQUE - MOZART - Concertos pour piano


Wolfgang Amadeus MOZART






LES DEUX PREMIERS CONCERTOS
POUR PIANO ET ORCHESTRE

Concerto n°1 en Fa majeur K 37

Concerto n°2 en Si bémol majeur K 39


Yvonne Loriod, piano
Orchestre du Domaine Musical
sous la direction de
Pierre Boulez


En 1767, alors qu'il n'a encore que onze ans, le petit MOZART est déjà célèbre et, afin d'enrichir le répertoire de ses prochains concerts, il compose ses premiers concertos pour piano.

Ces pages exquises vont, pendant des lustres, auréoler la composition du jeune compositeur prodige et susciter l'admiration. Mais, en 1908, deux musicologues prouvèrent, de façon péremptoire, que ces concertos étaient apocryphes : MOZART n'avait fait que puiser dans les œuvres de petits maîtres allemands installés à Paris et qu'il avait rencontrés lors de son voyage en France.

Cependant, ces concertos restent une énigme, car la beauté proprement mozartienne de cette musique demeure, alors même que son origine précise est démystifiée. Car ce n'est pas telle ou telle cellule mélodique ou rythmique qui porte le génie du compositeur, mais ce qu'il en fait. Dans ces concertos, MOZART a emprunté à d'autres des parties entières de sonates et cependant son génie s'y manifeste, au niveau de la forme comme à celui de mille détails. Et, surtout, «leur style est d'une unité si extraordinaire» (Alfred Einstein) qu'ils se situent niveau des chefs-d’œuvre.

Le Premier Concerto, en fa majeur K 37, crée une orchestration très personnelle, modifie librement les thèmes et donne au sujet initial une dimension, et des résonances nouvelles.

Mais le Second Concerto, en si bémol majeur K 39, est plus riche encore et son andante est un monument d'une prodigieuse intensité poétique. Toute la profondeur des chefs-d’œuvre futurs de MOZART s'y révèle : ce n'est plus ne promesse, mais un accomplissement.



  De qui donc, alors, sont ces deux œuvres ? Sont-elles de sages copies ou des créations marquées par la jeune inspiration de MOZART. Quelles sont les frontières de la métamorphose, dès lors qu'elle est aux mains d'un génie, fût-il enfant ? A vous de juger ...

130922 - TRAJET - CRANVES SALES / LE CHEYLAS / CRANVES SALES


vendredi 20 septembre 2013

130920 - MUSIQUE - HAYDN - Concerto et Sinfonia


Joseph HAYDN







CONCERTO POUR HAUTBOIS
ET
SYMPHONIE CONCERTANTE

Concerto pour hautbois
et orchestre en ut majeur
Hob. VIIg : C1
Symphonie Concertante
en si majeur
Hob. I : 105


CONSORTIUM MUSICUM
sous la direction de
Fritz Lehan




Le Concerto pour hautbois est une des œuvres les plus célèbres de HAYDN et, aussi, l'une des plus mystérieuses quant à son origine. Aucun musicologue n'a pu assigner une date précise à sa composition et certains, même, ont contesté qu'il soit l’œuvre de HAYDN. Mais ce que la science ne peut prouver, la sensibilité le perçoit : l'architecture rigoureuse de ce concerto, comme sa vigueur rythmique, portent bien la marque du compositeur favori des princes ESTERHAZY.

Avec cette œuvre, HAYDN nous donne l'exemple même du concerto de soliste classique. Après un premier mouvement, franchement bithématique et où l'écho des instruments à vent agrémente l'architecture orchestrale, un andante propose à la tendresse du hautbois l'enchantement d'un véritable lied, avant que le rondo final n'éblouisse par l'étincelante virtuosité qu'il exige de l'instrument soliste.

Une Symphonie Concertante fut proposée à Londres, en 1792. Depuis un an, HAYDN vivait dans la capitale anglaise et y découvrait, selon son expression, combien est doux le goût d'une certaine liberté. Enfin délivré des contraintes de Cour, il peut composer au gré de son imagination et la Symphonie Concertante est un des premiers fruits de cette liberté. Elle fait appel à un large orchestre, avec des flûtes, deux hautbois, un basson, deux cors, deux trompettes, des timbales et des cordes. Avec une souveraine maîtrise, HAYDN y organise une série de séduisants dialogues entre divers concertinos de quatre instruments et l'ensemble orchestral. Souples et variés, ces dialogue sont la plus élégante des conversations musicales, dans l'émotion contenue de leur inspiration.

Certes, ces deux œuvres sont musique de divertissement : l'une écrite pour le plaisir d'une Cour princière et l'autre pour la joie de cet autre prince qu'est le public. Mais HAYDN eut le secret, qui est celui du classicisme, de divertir avec talent et plaire avec génie.





130919 - TRAJET - CRANVES SALES / LE CHEYLAS / CRANVES SALES


130919 - LECTURE - Raymond RADIGUET - Oeuvres Complètes - Manuscrits achevés et inachevés





MANUSCRITS ACHEVES ET INACHEVES


MUSIC

La Ville au lac d'argent

Ebauche d'une nouvelle

Ile de France, île d'amour


DESORDRE

Poésie

Ebauches

Fragments

Prose

Ebauches

Fragments

Projets

mercredi 18 septembre 2013

130918 - MUSIQUE - FRANCE MUSIQUE - Hector BERLIOZ



Festival Berlioz

l'orchestre National de Lyon et Véronique Gens interprètent un programme Berlioz

le mercredi 18 septembre 2013


Le 27 août 2013, l'orchestre National de Lyon dirigé par Leonard Slatkin interprète avec la soprano Véronique Gens des oeuvres d'Hector Berlioz. Concert enregistré à la cour du Château Louis XI, Coté Saint-André, en Isère, dans le cadre du festival Berlioz.


♫ Hector Berlioz
Benvenuto Cellini, ouverture
Karl Maria von Weber
transcrit par
Hector Berlioz
Invitation à la valse
♫ Hector Berlioz
La Captive
♫ Hector Berlioz
La Belle voyageuse

♫ Hector Berlioz
Le Jeune Pâtre breton
♫ Hector Berlioz
Le Roi des Aulnes
♫ Igor Sravinsky
Le Sacre du printemps
Véronique Gens, Soprano
Orchestre National de Lyon
Leonard Slatkin, Direction










130918 - MUSIQUE - BARTOK - Pièces pour piano



Bela BARTOK







PIECES POUR PIANO

1 – Etudes pour piano
2 – En Plein Air
3 – Suite pour piano
4 – Sonate pour piano


Noël Lee, piano



Bela BARTOK a composé sa musique, et notamment ses œuvres pour piano, dans un perpétuel état de crise et de déchirement. Pour cet artiste puissant et audacieux, la tentation fut donc grande de participer à la révolution dodécaphonique. Deux facteurs essentiels l'en ont empêché : son refus obstiné de toute servitude intellectuelle et son attachement au folklore de sa terre natale.

Les trois Etudes, composées en 1918, sont un bouleversant et passionnant témoignage de cette lutte contre la tentation sérielle. Destinées à des virtuoses transcendants, tel BARTOK lui-même, ces trois pièces offrent une très grande variété d'atmosphère : violence rythmique pour la première, fluidité lunaire pour la seconde et savoureuse liberté, dérivée de la musique populaire, pour la troisième.

En Plein Air est un cycle de cinq pièces, écrites durant l'été de 1926. Elles font pénétrer, de façon subtile, dans ce domaine de riche fantaisie, baigné d'une poésie étrange, qui est le plus intime univers bartokien : celui du floklore imaginaire.

La Suite pour piano, qui date de 1916, est l'une des pages les plus directes et les plus séduisantes de BARTOK. Après la saveur rustique et l'adorable fraîcheur poétique des deux premiets mouvements, la rudesse impétueuse du troisième fait accéder à l'intense puissance expressive du finale, véritable sommet spirituel.

La Sonate pour piano fut composée en janvier 1926. Extrêmement concise, malgré son écriture complexe, elle crée une impression de tension extrême, accrue par le volume quasi orchestral de la sonorité et par une rythmique sauvage jusqu'à la frénésie. Cette œuvre magnifique, qui a ouvert des voies nouvelles à l'utilisation du piano, est une des plus grandes sonates écrites depuis BEETHOVEN. Tout le génie de BARTOK y est présent et, comme l'a écrit P. CITRON, «cette sorte de dilatation ou d'expansion de l'être qui marque sa musique».


130918 - LECTURE - Raymond RADIGUET - Oeuvres complètes - Prose




Le Bal du comte d'Orgel 

est un roman de Raymond Radiguet paru en juillet 1924, peu de temps après la mort de son auteur. Cet ouvrage en français, portant sur un triangle amoureux, est considéré comme un chef d'œuvre du roman moraliste. L'action se déroule dans le Paris des Années folles, son écriture est fortement orientée sur une analyse de la psychologie des personnages.

En 1920, à Paris, François de Séryeuse, jeune étudiant issu de la vieille noblesse féodale et le comte Anne d'Orgel, venu de la noblesse de cour, se lient d'amitié dans le but initial de jouer Paul Robin, ami commun et diplomate, le soir d'un spectacle chez Medrano. C'est à cette occasion que l'étudiant rencontre la femme du comte, Mahaut d'Orgel, dont il tombe immédiatement amoureux. Ne s'avouant pas ce sentiment et voulant faire bonne figure auprès d'Anne qu'il apprécie beaucoup en tant qu'ami, il est dès lors de toutes les activités des Orgel, devenant rapidement un intime de la maison.

François fait rencontrer les Orgel à sa mère, Mme de Séryeuse, jeune veuve, avec laquelle il a du mal à communiquer. Anne découvre un lointain cousinage entre François et Mahaut, descendante des Grimoard de la Verberie, lien très ténu qui fait pourtant sursauter les deux êtres. L'amitié d'Anne et les bonnes dispositions de sa mère face aux Orgel rapprochent un peu plus chaque jour François et Mahaut. Cette dernière, aimant son mari d'un amour doux, ne comprend pas les sentiments que lui fait ressentir François.

Après des vacances d'été passées chacun de son côté dans l'attente des nouvelles de l'autre, Mahaut parvient à s'avouer ce qu'elle éprouve pour François. Ne sachant que faire face à cette émotion, elle confie son amour à Mme de Séryeuse. Celle-ci, peu habile, annonce à François ce qui devait être tu, ce qui le pousse à faire ce que Mahaut redoutait : poursuivre la relation amicale avec Anne. Ce dernier se ridiculisant aux yeux de François, aux dépens du prince Naroumof, lors de la soirée de préparation de leur bal, Mahaut avoue ses affres à son mari. Celui-ci pense à un malentendu, ne prend pas au sérieux cet aveu.

mardi 17 septembre 2013

130917 - LECTURE - GEOHISTOIRE - ASTERIX




PANORAMA
Dans les pas
d'Astérix et Obélix
Forêt des Camutes, pointe
de Lostmar'ch ou plateau
de Gergovie ... Découvrez
les sites gaulois en 
suivant nos deux héros.


LA SOCIETE
Des barbares très civilisés
Non, les Gaulois n'étaient pas ces
sauvages décrits par les auteurs
antiques. Le vrai visage de la Gaule
réserve bien des surprises.


LES PERSONNAGES
Par Toutatis ! Ces héros
sont bien réels !
Du costume à la coutume, le
monde gaulois imaginé par
Gisciny et Uderzo est assez
proche de la réalité historique.


L'IMAGERIE
"Nos ancêtres les Gaulois",
une mythologie française
Comment la figure de ces
guerriers a servi la propagande
politique et la publicité.


L'ART
Une beauté insoupçonnée
Longtemps éclipsée par l'art
antique, la création "barbare"
est désormais reconnue.


L'ENTRETIEN
"Ils se considéraient 
comme les fils de la nuit"
Pourquoi nos ancêtres avaient-ils
peur que le ciel leur tombe sur
la tête ? Une des questions
auxquelles répond le spécialiste
Jean-Louis BRUNAUX.


NOTRE POSTER
Recto : La Gaule avant César
Verso : A la rencontre des
habitants de la Gaule


QUIZ
Quand Astérix revisite l'histoire
Reddition de Vercingétorix,
révolte de Spartacus ... les
événements se sont-ils passés
comme dans la bande dessinée ?
A vous de répondre !


LA PHILOSOPHIE
Les druides,
des hommes de pouvoir.
Ces lettrés vont étendre leur sphère
d'influence à toute la société.


LA GUERRE
César, un stratège génial
mais impitoyable
La "Pax Romana" imposée
aux Gaulois aura été établie
au prix de nombreux massacres.


Malheur aux vaincus !
Qui étaient ces redoutables
guerriers qui inspiraient
la terreur dans toute l'Europe ?


LA CREATION
Gosciny et Uderzo,
la passion magique
La saga de l'incroyable complicité
des deux "pères" d'Astérix



POUR EN SAVOIR PLUS
Un beau livre sur une métropole
arvenne ressuscitée en 30,
un film de Jean-jacques Beneix
sur l'oppidum de Bibracte ...


EVENEMENT
17 Juin 1953, la mère
de toutes les révoltes
Durant trois jours, un soulèvement
populaire en RDA a fait
trembler le bloc communiste.


A LIRE, A VOIR
Un essai sur la guerre
du Kippour, un témoignage
explosif sur les dessous
d'Hollywood, un récit sur
l'enlèvement de Mona Lisa ...



130917 - MUSIQUE - Jean-Sébastien BACH - Quatre Pièces pour Orgue

Jean-Sébastien BACH






QUATRE PIECES POUR ORGUE

Fantaisie en sol majeur BWV 572

Prélude et fugue en la majeur BWV 536

Pastorale en fa majeur BWV 590

Variations canoniques BWV 769



Arno Schönstedt
à l'orgue Arp Schnitger de
St-Pancrace (Hambourg-Neuenfelde)



Organiste aux dons exceptionnels, BACH voua à l'orgue une part essentielle de son génie. Voulant initier à l'univers prodigieux de la musique pour orgue de BACG, ce disque a fait choix de quatre œuvres révélatrice des différentes étapes de la vie créatrice du compositeur : la jeunesse, la maturité et l'apogée.

La Fantaisie en sol majeur (BWV 572) fut composée vers 1706, au début du séjour de BACH à Arnstadt. C'est un triptyque riche en contrastes. Après une introduction brillante, où la monodie se fait virtuosité enjouée, se déploie une admirable progression polyphonique, d'une écriture contrapuntique rigoureuse, qui aboutit à une stupéfiante succession d'arpèges. N'ayant pas encore subit l'influence italienne, BACH s'abandonne ici à la libre et puissante imagination nordique.

Le Prélude et fugue en la majeur (BWV 536) date de 1716 et fut écrit à Weimar. C'est une œuvre vivante et séduisante, d'un charme gracieux, où un thème d'un grand attrait rythmique joue un rôle déterminant.

La Pastorale en fa majeur (BWV 590) fut composée, elle aussi, à Weimar entre 1710 et 1717. C'est une sorte de Concerto de Noël pour orgue, d'une riche éloquence mélodique, où se succèdent une cornemuse, une allemande, un air à l'italienne et une gigue. En somme, comme l'a très justement noté Olivier ALAIN, «la seule Suite pour Orgue que nous ai laissé BACH».

Les Variations canoniques (BWV 769) sont une des dernières œuvres de BACH : elles furent composées à Leipzig, en 1947. Pour appuyer sa demande d'admission à la Société des Sciences Musicales, BACH présenta ces variations sur un cantique de Noël célèbre : il y résume, comme dans l'Art de la Fugue, toute sa science du contrepoint. Cette œuvre magistrale, éclairée par une inspiration géniale, est un des sommets de l'art de BACH et un jalon essentiel dans l'histoire de la musique pour orgue.



130917 - TRAJET - PETITE RIVE / THONON / CRANVES SALES


130916 - TRAJET - CRANVES-SALES / PETITE RIVE


lundi 16 septembre 2013

150916 - LECTURE - Raymond RADIGUET - Oeuvres complètes - PROSE





PROSE



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