samedi 31 décembre 2011

111231 - ECOUTE - TCHAIKOVSKI - Eugene Oneguine




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Eugène Onéguine, op. 24, est un opéra (« scènes lyriques ») en trois actes et 7 tableaux composé par Piotr Ilitch Tchaïkovski entre juin 1877 et janvier 1878, sur un livret russe de Constantin Chilovski et du compositeur, basé sur le roman éponyme d'Alexandre Pouchkine. La première représentation eut lieu au Petit Théâtre du Collège Impérial de musique (Théâtre Maly), à Moscou, le 29 mars 1879.

Eugène Onéguine est un exemple bien connu d'opéra lyrique ; son livret suit l'original de Pouchkine de très près, en gardant beaucoup de sa poésie, à laquelle Tchaïkovski ajouta une musique de nature dramatique.

L'histoire est celle d'un héros égoïste qui ne vit que pour regretter le rejet de son amour par une jeune femme et qui s'engagera dans un duel fatal contre son meilleur ami.

L'œuvre fait partie du répertoire lyrique actuel. Il en existe plusieurs enregistrements, et elle est encore souvent jouée.

C D N° 1 

Acte I

  • Premier tableau
Vers 1820, dans le jardin du domaine des Larine
 Madame Larine et sa vieille gouvernante Filippievna sont assises dans le jardin : les deux filles de Madame Larine, Tatiana et sa jeune sœur Olga chantent à l'intérieur de la maison. Un groupe de paysans chante un joyeux air champêtre. Tatiana lit une histoire d'amour qui l'émeut, mais sa mère lui dit que la vie ne ressemble en rien à tous ces romans. Des visiteurs arrivent : Vladimir Lenski, fiancé d'Olga, un jeune poète, et son nouvel ami Eugène Onéguine, un dandy de Saint-Pétersbourg. Les présentations sont faites. Onéguine est surpris du fait que Lenski ait choisi Olga, l'extravertie, et non sa sœur, plus romantique. Tatiana, de son côté, est immédiatement séduite par Onéguine.
  • Deuxième tableau
La chambre de Tatiana
Le soir venu, Tatiana avoue à Filippievna qu'elle est amoureuse. La gouvernante partie, elle écrit une lettre passionnelle à Onéguine dans laquelle elle lui déclare qu'il est l'homme que le destin lui a envoyé (la très connue Scène de la lettre). Au matin, elle demande à sa gouvernante de faire parvenir la lettre à Onéguine.
  • Troisième tableau
Dans les jardins des Larine
Onéguine rend visite à Tatiana pour lui donner la réponse à sa lettre. Il lui explique avec bonté qu'il n'est pas homme à aimer facilement et qu'il n'est pas voué au mariage. Tatiana se sent humiliée et incapable de répondre.


 C D N° 2


Acte II
  • Premier tableau
La salle de bal des Larine
C'est le jour de la fête de Tatiana. Onéguine est irrité par les commérages que les gens de la campagne font sur lui et Tatiana, et par Lenski, qui l'a convaincu de venir. Il décide de se venger en dansant et flirtant avec Olga. Cela suscite la jalousie de Lenski. Olga, apparemment séduite, reste insensible aux plaintes de son fiancé. Elle fait diversion, alors qu'un invité français, Monsieur Triquet, chante quelques couplets en l'honneur de Tatiana. La querelle reprend et s'envenime. Lenski renonce à son amitié avec Onéguine devant tous les invités, et le provoque en duel. Onéguine, non sans hésitation, est forcé d'accepter.
  • Deuxième tableau
À l'aube, en hiver, au bord d'un ruisseau dans les bois
En attendant Onéguine, Lenski chante son amour pour Olga et son destin incertain. Onéguine arrive. Ils hésitent à poursuivre le duel mais n'ont pas la force de l'arrêter. Onéguine tue Lenski.



Acte III
  • Premier tableau
Quelques années plus tard, lors d'un bal dans la maison d'un noble fortuné de Saint-Pétersbourg
Les années ont passé et Onéguine est rongé par la mort de son ami Lenski et la vacuité de son existence. Le Prince Grémine entre avec son épouse, Tatiana, devenue une belle et grande aristocrate. Grémine chante sa vie heureuse avec Tatiana, et lui présente Onéguine. Ce dernier est très impressionné et soudainement animé du désir intense de regagner son amour.
  • Deuxième tableau
Une salle de réception dans la maison du Prince Grémine
Tatiana a reçu une lettre d'Onéguine. Celui-ci entre et la supplie de lui accorder son amour et sa pitié. Tatiana ne comprend pas ce qui, en elle, anime la soudaine passion d'Onéguine : sa richesse, son rang social ? Onéguine renouvelle la déclaration de son amour bien réel, absolu. Tatiana, les larmes aux yeux, lui rappelle ô combien ils étaient tous deux proches du bonheur, mais le somme de partir. Il refuse. Elle admet qu'elle l'aime encore, mais étant mariée, leur union ne peut se réaliser ; elle choisit de rester fidèle à son époux. Onéguine l'implore, mais elle le quitte, le laissant seul à son désespoir.

111231 - LECTURE - Georges SIMENON (LA PLEIADE)

Georges Simenon

Romans

Tome I Éditeur : Benoît Denis, Jacques Dubois Parution en Mai 2003
Bibliothèque de la Pléiade, n° 495
Achevé d'imprimer le 18 Avril 2003
1600 pages, rel. Peau, 105 x 170 mm 


Ce volume contient


Le Charretier de la «Providence» - L'Affaire Saint-Fiacre - Les Fiançailles de Mr. Hire - Le Coup de lune - La Maison du canal - L'Homme qui regardait passer les trains - Le Bourgmestre de Furnes - Les Inconnus dans la maison - La Veuve Couderc - Lettre à mon juge

L'homme vrai, pour Simenon, c'est l'«homme nu», débarrassé de ses masques géographiques, historiques ou sociaux. Ce n'est pas à proprement parler un héros, il est «n'importe qui dans la rue», mais, placé dans une situation de crise, il va jusqu'au bout de lui-même et révèle ce qu'il a en lui d'essentiel. Le roman de Simenon n'est donc pas une chronique : c'est une crise. Resserrement de l'action, tension du récit, rupture, passage à l'acte. Le personnage joue son destin comme aux dés, la mort est souvent au rendez-vous, le lecteur est porté par l'envie de savoir. On voit tout ce que le roman-crise doit au roman policier, et l'on comprend ce qui fait l'unité de l'œuvre. Simenon a trouvé dans ses propres récits d'énigme - les «Maigret» qui lui valurent ses premiers succès - de quoi structurer le genre auquel il tenait le plus, le «roman dur» (entendre : non-policier), qui est aussi un «roman pur» : dépourvu de considérations abstraites, composé de «mots matière», apte à saisir les êtres dans leur vérité. Il aura passé sa vie à parfaire et à épurer sa formule. Son extraordinaire productivité l'a parfois desservi. Les romans rassemblés dans la Pléiade - cinq «Maigret», seize «romans durs» - retracent sa trajectoire et manifestent la cohérence de son ambition. 

111231 - FILM TV - DOBERMANN


111230 - 73 - ALBENS

Contes à la Maison de Retraite "Au fil du temps" 

vendredi 30 décembre 2011

111230 - FILM TV - BLACK CHRISTMAS