Deux chiffres pour parler d’Elvis et du 7 ème art :
31 : c’est le nombre de films dont il est acteur, pour le meilleur et souvent pour le pire…
124 : c’est le nombre de longs métrages où il est interprété par un autre.
De Kurt Russel dans « Le Roman d’Elvis » le biopic de John Carpenter en 1979 à « Ultimo Elvis » en 2013 par l’argentin Armando Bon sur la vie d’un sosie, en passant par Jim Jarmusch avec Mystery Train en 1989, nombre de cinéastes se sont essayés à ce genre. Pour le meilleur et …pour le rire.
31 : c’est le nombre de films dont il est acteur, pour le meilleur et souvent pour le pire…
124 : c’est le nombre de longs métrages où il est interprété par un autre.
Elvis-Presley G. Mardirossian © RF
De Kurt Russel dans « Le Roman d’Elvis » le biopic de John Carpenter en 1979 à « Ultimo Elvis » en 2013 par l’argentin Armando Bon sur la vie d’un sosie, en passant par Jim Jarmusch avec Mystery Train en 1989, nombre de cinéastes se sont essayés à ce genre. Pour le meilleur et …pour le rire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire