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lundi 30 janvier 2012
120130 - FILM TV - Toute l'histoire de mes échecs sexuels
dimanche 29 janvier 2012
120129 - LECTURE - Thierry MARIGNAC - Fuyards
samedi 28 janvier 2012
120129 - LECTURE - Lyonel TROUILLOT - Thérèse en mille morceaux
120127 - ECOUTE - Nikolaï RIMSKI-KORSAKOV - Schéhérazade
vendredi 27 janvier 2012
120127 - FILM TV - Goebbels et le juif Süss, histoire d'une manipulation
(Jud Süss - film ohne gewissen) Drame - Allemagne, Autriche - 2010 - 114mn Réalisé par Oskar Roehler Avec : Tobias Moretti (Ferdinand Marian ), Martina Gedeck (Anna Marian ), Moritz Bleibtreu (Joseph Goebbels), Justus Von Dohnányi (Veit Harlan), Armin Rohde (Heinrich George ) Synopsis
En 1939, sous la supervision de Goebbels, le tournage du plus célèbre film de propagande antisémite, «Le Juif Süss»...
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jeudi 26 janvier 2012
120126 - LECTURE - Antologie bilingue de la poésie allemande
120126 - FILM TV - Un monde parfait
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mercredi 25 janvier 2012
120125 - LECTURE - J.M.G. LE CLEZIO - Histoire du pied et autres fantaisies
120125 - FILM TV - PERSEPOLIS
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mardi 24 janvier 2012
120124 - LECTURE - Guy des Cars - Je t'aimerai éternellement
lundi 23 janvier 2012
120123 - FILM TV - Le dernier Empereur
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120123 - LECTURE - Anthologie bilingue de la poésie allemande
dimanche 22 janvier 2012
120122 - LECTURE - Anthologie bilingue de la poésie allemande
120122 - FILM TV - Le portrait de Dorian Gray
120121 - LECTURE - Anthologie bilingue de la poésie allemande
vendredi 20 janvier 2012
120120 - LECTURE - Valery Zalotoukha - Le dernier communiste
120120 - LECTURE - Asli ERDOGAN - Le Mandarin miraculeux
résumé du livreUne jeune étrangère marche dans l'obscurité. Sur les rives du lac Léman, elle se met en danger, dans les ruelles escarpées de Genève, les endroits mal famés, elle rôde à la nuit tombée. Depuis le départ de son amant, elle écrit le soir dans les cafés. Dans ces lieux trop éclairés, enfumés, parfois accueillants, elle fait le constat d'une jeunesse gaspillée, s'invente un double fictionnel, une femme belle et capable d'aimer. Puis elle repart dans l'ombre. A travers les rencontres et les souvenirs étranges de cette jeune femme, émigrée en Suisse pour fuir les interdits de son pays, ce livre aborde le thème du danger comme un défi, comme si la peur ne se situait pas dans les lieux du sordide mais se révélait, de façon insidieuse, au plus profond de l'âme et au moment précis où le manque d'amour devient insurmontable. |
120120 - FILM TV - JAPON
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LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 15/01/2003 (TELERAMA)
Notre monde gronde, erre, souffre... Et ça ne va pas mieux en le
disant, car, à agiter ce genre d'idée, on tombe vite dans les clichés.
Ou alors, il faut savoir s'élever et regarder le monde avec ampleur.
Carlos Reygadas a ce talent. Son film commence sur le périphérique de
Mexico, et déjà ce paysage urbain ingrat suggère des sentiments qui
n'ont rien de banal. Une peur, un désespoir existentiels. Quand le décor
devient celui d'une vallée perdue au coeur des montagnes, on pourrait
se croire à l'aube ou au crépuscule de l'humanité. Les images de Japón
ont du souffle. Elles traquent le sens de la vie, sa valeur secrète.
Comme les personnages mystérieux et attachants, interprétés par des
non-professionnels dont les visages portent l'empreinte des épreuves du
temps.
Un homme est venu jusque dans cette vallée pour mourir d'une mort
réfléchie, soutenue par une forme de sagesse, comme le seppuku des
Japonais. Là, il rencontre des paysans démunis qui se soûlent pour
s'inventer une joie de vivre. Entre eux, rien ne semble pouvoir être
partagé. Mais Carlos Reygadas s'attache pourtant à les réunir. Il
observe la réalité la plus concrète, la plus viscérale et il explore en
même temps un monde pas du tout terre à terre, fait d'idées souvent
noires et de souffrance moins physique que métaphysique.
Cet étonnant désir de tout brasser, de tout embrasser, culmine dans la
relation qu'engage l'homme avec une vieille femme nommée Ascen. Ils sont
comme le jour et la nuit. Lui sombre, ombrageux, et elle tournée vers
la lumière des images pieuses et un peu kitsch dont elle s'entoure. Mais
l'inimaginable se produit : le jour et la nuit s'accouplent. C'est
violent, dérangeant et terriblement concret, avec des détails n'éludant
pas même la question de la souplesse d'un corps âgé. Mais c'est aussi
étrangement beau, bouleversant et poétique. Comme si la nuit et le jour
s'accouplaient vraiment, faisant trembler le monde entre stupeur et
éblouissement. Ce qui retentira sur le destin de chacun d'eux.
Carlos Reygadas ne manque pas d'audace, et son ambition de cinéaste est
résolument immense. Nourrie par des références de poids (aux films de
Tarkovski ou de Sokourov, entre autres), elle pourrait devenir
écrasante. Mais l'impertinence de la jeunesse l'accompagne : Japón est
un premier film réalisé sans moyens, avec l'énergie des risque-tout et
le perfectionnisme esthétique des passionnés. Cette vision du chaos du
monde est lucide, grave et profonde. Il faut heureusement ajouter
qu'elle est vive, affective et ne prétend pas asséner un message ni se
résoudre à une signification unique. Le titre à la fois énigmatique et
élégant donne le ton.
Frédéric Strauss
120119 - LECTURE - Anthologie bilingue de la poésie allemande
mercredi 18 janvier 2012
120118 - LECTURE - Anthologie bilingue de la poésie allemande
120118 - FILM TV - Le dernier clairon
mardi 17 janvier 2012
120117 - FILM TV - Strange days
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120117 - FILM TV - Peut-être
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120117 - LECTURE - Georges SIMENON - Lettre à mon juge
10 - LETTRE A MON JUGE Comme le titre le suggère, Lettre à mon juge est écrit à la première personne par Charles Alavoine qui vient d'être condamné pour le meurtre de sa maîtresse, meurtre sans raison apparente. Pour expliquer son geste, le narrateur écrit une longue lettre à son juge d'instruction qu'il considère être le seul à pouvoir le comprendre. On y apprend sa naissance et sa vie entre un père excessif et une mère effacée mais possessive, ses études de médecine, son mariage sans amour avec sa première femme dont il aura deux filles. Sa seconde femme, Armande, entrée dans la maison à l'occasion de la maladie d'une de ses filles fini rapidement par imposer ses goûts et sa façon de vivre et fini par épouser Charles. Celle-ci, issue de la bonne bourgeoisie de La Roche-sur-Yon lui impose sa façon de vivre aussi bien professionnelle (elle gère son carnet de rendez-vous, voire s'immisce dans ses diagnostics médicaux) que personnelle : sa façon de s'habiller, les gens de la bonne société locale à fréquenter. Cette situation de soumission, Charles la vit très bien dans un premier temps. Mais ce mariage de convenance n'est pas l'amour fou, et justement l'amour fou il va le rencontrer au hasard d'un de ses déplacements à Nantes en la personne de Martine Englebert. Très différente de son épouse, il est d'abord repoussé par son comportement qu'il juge vulgaire, mais il comprend rapidement la profonde détresse qui habite cette femme. Immédiatement Charles ne peut plus vivre sans Martine et sous prétexte d'avoir besoin d'une assistante, il lui fait partager sans vie. Cet impossible ménage à trois ne peut durer longtemps et après avoir tout avoué à sa femme et à sa mère, le couple va s'installer à Issy-les-Moulineaux, banlieue ouvrière de Paris. Là, Charles essaie d'effacer, avec l'aide de Martine qui désire oublier le passé, les traces et les comportements issus de sa vie dissolue. Charles sombre dans une jalousie noire devant l'impossibilité de ce projet, allant jusqu'à la battre, jusqu'à « tuer l'autre Martine ». |
lundi 16 janvier 2012
120116 - FILM TV - La visite de la fanfare
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dimanche 15 janvier 2012
120115 - FILM TV - Miel
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120116 - LECTURE - Georges SIMENON - La Veuve Couderc
9 - LA VEUVE COUDERC Après cinq ans passés en prison pour meurtre, Jean Passerat-Monneyeur, libre de tout engagement et de tout projet rencontre la veuve Couderc, dite Tati, dans un bus qui sillonne la campagne près de Saint-Amand, dans le Cher. Absorbé par les travaux simples de la ferme et une relation sexuelle avec Tati sans amour, Jean semble retrouver bonheur et équilibre. Mais rapidement l'amour qu'il porte à Félicie, voisine et cousine de Tati, ainsi que la jalousie obsessionnelle de cette dernière enferment Jean dans une situation sans issue. À bout, il assassine Tati à coups de marteau, se saoule et attend calmement l'arrivée des gendarmes alors qu'il sait très bien que ce crime lui vaudra l'échafaud. |
120115 - FILM TV - Souvenirs du Caire
120115 - LECTURE - Georges SIMENON - Les inconnus dans la maison
120114 - FILM TV - Beur, blanc, rouge
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Synopsis et détails
Le match France - Algérie vient chambouler le train-train de Brahim et
Mouloud. Cet évènement va diviser les deux amis : Brahim revendique son
identité algérienne, Mouloud fustige son refus de la France, pays qui
les a vu grandir.
Mais 4 à 1 c'est trop ! Brahim envahit le stade. Au sortir de ses tribulations avec la justice, l'heure est grave. Comment payer les 100 000 Fr. d'amende ?
Mais 4 à 1 c'est trop ! Brahim envahit le stade. Au sortir de ses tribulations avec la justice, l'heure est grave. Comment payer les 100 000 Fr. d'amende ?
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