jeudi 28 février 2013
mercredi 27 février 2013
130227 - FILM TV - Cachés
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mardi 26 février 2013
130226 - ECOUTE - Modeste MOUSSORGSKY - Tableaux d'une Exposition
Modeste MOUSSOGSKY
TABLEAUX
D'UNE EXPOSITION
130225 - ECOUTE - FRANCE MUSIQUE
Le concert du soir
par Producteurs en alternance
Soirée spéciale des Victoires de la musique classique 2013
en direct du Nouvel Auditorium de Bordeaux
LES REVELATIONS :
> Révélations soliste intrumental
Émilie Gastaud (harpe)
Victor Julien-Laferrière (violoncelle)
Edgar Moreau (violoncelle)
> Révélation artiste lyrique
Julien Behr (ténor)
Sabine Devieilhe (soprano)
Florian Sempey (baryton)
> Révélations soliste intrumental
Émilie Gastaud (harpe)
Victor Julien-Laferrière (violoncelle)
Edgar Moreau (violoncelle)
> Révélation artiste lyrique
Julien Behr (ténor)
Sabine Devieilhe (soprano)
Florian Sempey (baryton)
> Soliste instrumental
Nicholas Angelich • piano
Aldo Ciccolini • piano
Emmanuel Pahud • flûte
> Artiste lyrique
Philippe Jaroussky • contre-ténor
Patricia Petibon • soprano
Nathalie Stutzmann • contralto
Ludovic Tézier • baryton
> Compositeur
Karol Beffa, Concerto pour piano & orchestre (création)
Bruno Mantovani, Jeux d’eau (création)
Oscar Strasnoy, Odyssée (création pour solistes, choeurs et ensemble instrumental)
> Enregistrement
DEBUSSY, 24 Préludes - Philippe Bianconi - La Dolce Volta
LE BOEUF SUR LE TOIT - Alexandre Tharaud, Juliette, Frank Braley, Natalie Dessay, Madeleine Peyroux, Bénabar, etc. - Virgin Classics
TCHAÏKOVSKY/CHOSTAKOVITCH, Symphonie n° 5 / Ouverture fes tive - Orchestre national du Capitole de Toulouse, direction Tugan Sokhiev - Naïve
Brahms,
Danse hongroise no 5
par Renaud Capuçon
Gershwin,
par Renaud Capuçon
Gershwin,
Rhapsodie in Blue (version originale à deux pianos)
par Katia et Marielle Labèque
Donizetti,
par Katia et Marielle Labèque
Donizetti,
L’Elixir d’amour (extr. « Una furtiva lagrima »)
par Vittorio Grigolo
J-S Bach,
par Vittorio Grigolo
J-S Bach,
« Prélude » de la Suite no 1 (version à l’alto)
par Antoine Tamestit
Verdi,
par Antoine Tamestit
Verdi,
Le Trouvère (extr. « Choeur des Gitans »)
par le Choeur de l’Opéra national de Bordeaux
Rossini,
par le Choeur de l’Opéra national de Bordeaux
Rossini,
Le Barbier de Séville (extr. « Una voce poco fa »)
par Joyce DiDonato
Rodrigo,
par Joyce DiDonato
Rodrigo,
Concerto d’Aranjuez
par Milos Karadaglic
Brahms,
par Milos Karadaglic
Brahms,
« Rondo alla Zingarese » – Quatuor pour piano et cordes
par Renaud Capuçon, avec David Kadouch, Adrien La Marca et Edgar Moreau
Gershwin,
par Renaud Capuçon, avec David Kadouch, Adrien La Marca et Edgar Moreau
Gershwin,
"The Man I Love"
par Alexandre Tharaud
Haendel,
par Alexandre Tharaud
Haendel,
« Ombra mai fu »
par Nathalie Stutzmann
par Nathalie Stutzmann
Philippe Manoury,
l’ensemble baroque Orfeo 55,
Hae-Sun Kang, les violonistes Sarah et Deborah Nemtanu...
l’ensemble baroque Orfeo 55,
Hae-Sun Kang, les violonistes Sarah et Deborah Nemtanu...
lundi 25 février 2013
130225 - ECOUTE - Jean-Baptiste PERGOLESE - Quatre concertinos pour cordes
dimanche 24 février 2013
130224 - LECTURE - Philippe DJIAN - "Oh ..."
Le livre
Après Vengeances, Incidences, Impardonnables, ses précédents romans, Philippe Djian
monte d'un cran dans l'art du titre succinct avec ce laconique "Oh...".
Un titre énigmatique aussi, comme les débuts de ce récit où Michèle, la
narratrice, évoque enfin son drame au bout d'une trentaine de pages :
elle a été récemment violée, dans sa maison où elle vit seule depuis son
divorce d'avec Richard, trois ans auparavant. Or son agresseur continue
de lui adresser des messages menaçants, même s'ils ne sont pas signés,
et Michèle multiplie les mesures de protection - alarme, bombe de gaz
incapacitant, lampe-torche, etc. Cet agresseur cagoulé ne serait-il pas
quelque auteur revanchard, qui lui en voudrait d'avoir refusé l'un de
ses scénarios ? C'est son métier, lucratif, de les sélectionner pour AV
Productions, la société qu'elle a montée il y a vingt-cinq ans avec son
amie Ana. Décidément, la vie de Michèle va de mal en pis : Richard qui
refait la sienne avec une jeunette, ce viol qui l'obsède, sa mère Irène,
75 ans, "caricature de vieille séductrice", qui insiste pour qu'elle
reprenne contact avec son père, incarcéré depuis trente ans pour avoir
abattu soixante-dix enfants dans un camp de vacances ; sans oublier son
fils de 24 ans, Vincent, serveur chez McDo, dont elle n'apprécie pas du
tout la compagne, Josie. Heureusement, Michèle peut compter sur le
soutien indéfectible d'Ana, même si elle culpabilise d'avoir une liaison
avec son mari Robert. Il y a aussi Patrick, son voisin, banquier,
marié, très prévenant. Trop ? C'est l'hiver, Noël et la Saint-Sylvestre
réservent encore leur lot de malheurs. Mais Michèle aura le mot de la
fin : "Oh..." Les inconditionnels de Philippe Djian apprécieront de
retrouver sa patte et son univers, où on baise, on fume et on boit pas
mal - du vin blanc, des daiquiris, des gin tonic. Un roman enivrant,
assurément !
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130224 - CONFERENCE - Vers Jerusalem à pied
samedi 23 février 2013
130223 - LECTURE - Nor Eddine BOUDJEDIA - Little Big Bougnoule
Résumé du livre
Un homme venu d'Algérie avec sa famille s'installer en France dans les années 1950, bien intégré, architecte, se retrouve confronté un jour à la question de ses origines. Little Big Bougnoule est un conte philosophique contemporain. L'histoire
du voyage qu'entreprend un jeune architecte parisien, fils d'immigrés
parfaitement intégré, lorsqu'un jour il ressent le besoin de regarder en
arrière pour questionner ses origines. Ce candide chercheur d'identité
s'égare sous le soleil et perd, telles des peaux mortes, ses préjugés et
ses illusions. Aux portes du désert, son apprentissage devient bientôt
la quête de toute une génération. Au fil de ses rencontres, le migrant
va retrouver peu à peu le chemin du nomade dans les labyrinthes d'une
mémoire bien plus ancienne qu'il ne l'avait imaginé.
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130223 - LECTURE - Ari FOLMAN & David POLONSKY - Valse avec Bachir
120223 - LECTURE - GEOVOYAGE THAILANDE
vendredi 22 février 2013
130222 - ECOUTE - Johannes Ockeghem - Deux Messes
Johannes
OCKEGHEM
MISSA
« MA MAISTRESSE » (plamenac 8)
Kyrie
Gloria
in excelsis Deo
MISA
QUARTI TONI « MI-MI » (plamenac 9)
Kyrie
Gloria
in excelsis Deo
Credo
in unim Deum
Sanctus
Agnus
ENSEMBLE
POLYPHONIQUE DE PARIS, R.T.F.
Sous
la direction de
Charles
RAVIER
Jocelyne
Chamonin, soprano
Joseph
Sage, haute contre
André
Meurant, ténor
Georges
Abdoun, basse
Claude
Maisonneuve et Yves Pruède, cors anglais
Pierre
Poulteau, flûtes à bec ténor et basse
Christian
Lardé, flûte et flûte à bec soprano
Jean
Lamy, gambe
Pierre
Degrenne, violoncelle
Mildred
Clary, luth
Elena
Polonska, petite harpe
Gothique
attardé ou homme de la renaissance ; froid calculateur ou
musicien passionnément expressif ; mystique éthéré ou mage
inquiétant ; audacieux novateur ou dernier pilier de
traditions déclinantes ; symbole de profondeur nordique ou de
clarté latine ? La personnalité de Johannes Ockeghem, ce
flamand de pure race dont la phase de création la plus mure se
déroula pendant près d'un demi-siècle au cœur même de la France,
demeure jusqu'aujourd'hui environnée des voiles de pareilles
contradictions : ce « Brahms du Xvème siècle »,
comme le définit d'une manière si frappante son connaisseur le plus
éminent, Charles van den Boren, est en effet un classique et un
romantique tout à la fois !
En
dehors de quelques données de base, sa vie nous est encore peu
connue et si son lieu de naissance est probablement le petit village
dont il porte le nom – en Flandre Orientale non loin de Termonde –
l'année qui le vit naître demeure très discutée : 1440 ou
1430 ? En tous cas, on le signale comme chanteur dans le choeur
de la Cathédrale d'Anvers en l'an 1444. Mais en 1448, il sert comme
musicien ) la Cour de Charles 1er de Bourbon à Moulins. Et dès l'an
1452, il parvient au sommet de la réussite professionnelle lorsqu'il
prend la direction de la Chapelle Royale de France. Jusqu'à sa mort,
en 1496 à Tours, il conserve cette position privilégiée et sert
ainsi trous souverains successifs : Charles VII, Louis XI et
Charles VIII. Comme le siège de la Couronne de France se déplaçait
alors constamment de l'un à l'autre des châteaux de la Loire, c'est
donc plus de quatre décades qu'Ockeghem passa dans cette contrée
bénie de Dieu, ce « Jardin de la France ». C'est ainsi
que le seul peut-être parmi les grands Maîtres de la célèbre
Ecole Flamande que l'on puisse qualifier de flamand
authentique devint un vrai français d'élection, ce qui éclaire
d'un jour révélateur sa personnalité riche de contrastes. Aussi,
contrairement à la plupart de ses contemporains, contrairement aussi
à ses grands devanciers comme Guillaume Dufay ou successeurs comme
Josquin des Prez, Ockeghem ne fut pas un grand voyageur – on
signale cependant un voyage en Espagne en 1470 et un autre dans sa
Flandre natale en 1484 – Avant tout, la découverte décisive de
l'Italie lui fut refusée, confrontation d'une importance si vitale
qu'elle décida, chez tous les compositeurs qui purent la vivre, du
passage au mode de pensée et d'écriture de la Renaissance.
L'influence
de l'Italie a entraînée une simplification dans le domaine de la
dissonance et de la symétrie périodique qui devait mener à
l'équilibre un peu lisse, aux contours harmonieux de l'Ecole de
Palestrina. Cet idéal de clarté, somme toute assez classique,
constituait indubitablement la direction moderne, progressiste de
l'époque ; preuve en soit dans les écrits théoriques d'un
Tinctoris. Mais c'est précisément l'élément d'âpreté,
d'asymétrie, le côté gothique du style d'Ockeghem qui nous
paraissent aujourd'hui particulièrement audacieux et actuels,
exactement comme dans le cas de Jean-Sébatien Bach, condamné par
son époque comme gothique et rétrograde !
Par
le volume, l'oeuvre que nous a laissé Ockeghem est sensiblement
moins importante que celle de la plupart de ses contemporains :
avec quinze Messes (certaines incomplètes), neuf motets et vingt et
une Chansons, elle est logée à l'aise dans une Edition Complète
comportant trois volumes seulement. La partie essentielle en est
évidemment l'ensemble des Messes qui remplit la totalité des deux
volumes parus à ce jour. L'immense réputation du Maître durant sa
vie, - il était considéré sans conteste comme le plus grand
compositeur de son époque – nous laisse supposer une œuvre
beaucoup plus vaste, hélas disparue à jamais (nous connaissons les
titres de quatre Messes perdues). Consolons nous du moins en
constatant que presque toutes les œuvres préservées sont
magistrales.
Ecrites
avec soin, généralement à trois voix, d'une expression fréquemment
sombre et méditative, les Chansons le cèdent en importance aux
œuvres sacrées et parmi celles-ci, les Messes dominent à leur tour
les Motets qui offrent pourtant maintes merveilles. C'est dans le
vaste cadre de la Messe cyclique que le souffle puissant et la
science architecturale grandiose de ce mystique gothique pourront se
déployer le plus favorablement. Ici, les courbes mélodiques les
plus hardies, d'une richesse d'invention sans limite, s'élancent et
planent en totale liberté ; ici, le flux musical s'élève au
delà de toute symétrie restrictive, jusqu'à la représentation de
l'infini ; ici, règne un art stupéfiant de l'amplification
mélodique dans l'esprit de la variation, qui annonce, à des siècles
d'intervalle, l'avenir du développement thématique ; ici
enfin, le compatriote d'un Jan van Ruusbroec ou d'un Thomas a Kempis
prie avec la plus profonde ferveur, avec une si chaleureuse
conviction et en même temps une si touchante humilité, une si
bienheureuse pureté que la plupart des connaisseurs d'Ockeghem
invoquent l'influence des Frères de la Vie Commune, cette
confrérie mystique du Xvème siècle anversois.
Chez
Ockeghem, la Missa Mi-Mi, également dénommée Quarti
Toni, est une œuvre maîtresse. Alors que la majorité des
quinze Messes connues sont édifiées conformément à l'usage de
l'époque sur un cantus firmus – bien plus souvent d'origine
profane que religieuse dans le cas d'Ockeghem-, la Missa Mi-Mi»
est composée « librement », , en renonçant à tout
support. Cette attitude fort progressiste pour l'époque définit
Ockeghem comme un novateur audacieux. Comme « leitmotiv »
de liaison à la tête de chacune des cinq parties qui composent la
messe, nous ne trouvons que le saut de quinte descendante
caractéristique au début de la partie basse, saut auquel l'oeuvre
doit son nom (mi – la : selon les lois de la solmisation
guidonienne, Mi désignait le mi dans l'hexachorde naturel mais le la
dans l'hexachorde mineur). La technique du motif de tête que Dufay
avait utilisée magistralement dans sa Messe « L'Homme
armé » et qui se retrouve dans de nombreuses messes
d'Ockeghem, subit ici une simplification qui en réduit la portée
presque jusqu'au symbole. Comment le compositeur, malgré une
technique motivique extrêmement ramifiée, une liberté et une
indépendance absolue dans la conduite des voix, dans la rythmique et
l'agogique, et en l'absence de tout élément thématique de
synthèse, parvient cependant à donner une sensation de parfaite
unité, c'est là un miracle auquel seul une analyse détaillée
serait susceptible de rendre justice !
Il
serait en effet totalement erroné de ranger cette Messe et d'autres
œuvres de Ockeghem dans le domaine du style coulant, en imitation
syntaxique, propre à la renaissance et qui est bien plutôt le fait
d'un Jacob Obrecht, voire d'un Nicolas Gombert. Au contraire, « les
voix cheminent généralement côte à côte, en relation fort libre,
tantôt l'une, tantôt l'autre suscitant l'impulsion créatrice du
mouvement d'ensemble ; De temps à autre, une ligne unique,
abondamment ramifiée, d'une ferveur intense, apparaît au premier
plan ou, au contraire, toutes les voix se rassemblent pour une
paisible déclamation en accords » (H. Besseler). Comparé au
style chantant de palestrina, « il règne chez Ockeghem un flux
mélodique beaucoup plus mouvementé, sans les accords parfaits et
les cadences dominantes qui définissent le style palestrinien ;
Les enchaînements d'Ockeghem sont plus âpres, on trouve par exemple
encore chez lui des quintes parallèles totalement bannies du langage
de Palestrina » (H. Chr. Wolf). Ces traits d'écriture
proprement gothiques nous impressionnent précisément par leur
actualité et leur modernisme, tout comme la faculté, mise en relief
par Ernst Krenek, que possède Ockeghem de convaincre à la fois
notre esprit et notre cœur.
La
Messe Ma Maistresse utilise une Chanson profane d'Ockeghem lui
même comme cantus firmus. Elle se compose seulement d'un Kyrie et
d'un Gloria et offre ainsi le seul exemplaire de Messe brève que
l'on puisse trouver chez Ockeghem. De libres variations sur les
divers motifs de la chanson s'unissent ici en un flot continu de
toutes les voix, structure sonore quelque peu insolite pour notre
compositeur et que la réalisation purement instrumentale met tout
particulièrement en relief.
Henry
Halbreich.
130222 - ECOUTE - France Musique
Le concert de l'après-midi
par Anne-Charlotte Rémond
Ludlow : Biber, Bach, Vivaldi
♫ Jean Sébastien Bach Concerto N°1 en la mineur BWV 1041 (1717,1723)
♫ Antonio Vivaldi Concerto en ré Majeur RV 234, L'inquietudine
♫ Antonio Vivaldi Concerto en ré mineur Op.3 N°11, Ext. de L'estro amonico RV 565 (1711)
♫ Heinrich-Ignaz-Franz von Biber Battalia (1673)
♫ Jean Sébastien Bach Concerto N°2 en mi Majeur BWV 1042 (1717,1723)
Alastair Ross, Clavecin*
Academy Of Ancient Music
Alina Ibragimova, Direction & Violon
Concert donné le 3 mars 2012 à l'Assembly Rooms de Ludlow.
mercredi 20 février 2013
130220 - FILM TV - La porte du Paradis
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130220 - ECOUTE - Bedriech SMETANA - Symphonie Triomphale
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