AUGUST HEINRICH
HOFFMANN VON FALLERSLEBEN
Tous les oiseaux sont déjà là
Le chant des Allemands
Berceuse
FERDINAND FREILIGRATH
D'en bas !
Robert Eduard PRUTZ
Pereant les libéraux
GEORG HERWEGH
Hölderlin
Hymne fédéral de l'association générale
des travailleurs allemands
Chanson des cavaliers
LUDWIG PFAU
Poème pour le 18 Mars 1848
Monsieur Biedermeier
GEORG WEERTH
Travaille
Le chant de la faim
Les cent mineurs
CHRISTIAN FRIEDRICH HEBBEL
Ils ne se reverront plus
Toi et moi
Requiem
Notre temps
THEODOR STORM
Dans la forêt
Elisabeth
Sur la lande
La ville
GOTTFRIED KELLER
Paix à la créature
Au bord de l'eau courante
Pentecôte berlinoise
Foi printanière
Chant du soir
Le temps n'avance pas
CONRAD FERDINAND MEYER
Le soleil est toujours jeune
Orage de moisson
Rames relevées
Deux voiles
Sur fond doré
Sur le Canal Grande
Le chant de la mer
Traces de pas
Châtaignier à l'ombre noire
EMMANUEL GEIBEL
Voici le mois de mai ...
THEODOR FONTANE
John Maynard
Ca grouille et fourmille encore
La fin
WILHELM BUSCH
Un oiseau est pris à la glu ...
As-tu vu le merveilleux tableau de Brouwer ...
Si tu étais ruisselet, moi ruisseau ...
Ils se sont querellés en buvant leur vin ...
Max et Moritz
Gloire posthume
Fondateurs
Au revoir
Autrefois, quand j'étais sans expérience ...
Curriculum
DETLEV VON LILIENCRON
Légende portuaire
Eglise de village en été
Qui sait où
FRIEDRICH NIETZSCHE
La chanson ivre
Le nouveau Colomb
Venise
RICHARD DEHMEL
Traduction François VILLON
L'épitaphe Villon
Traduction Emile VERHAEREN
Les pauvres
Poèmes de Richard DEHMEL
Certaines nuits
L'homme du travail
Garnement
CHRISTIAN MORGENSTERN
Les trois moineaux
Le samedi des servantes
La belette esthète
Palmström
Les mouettes
Chant nocturne du poisson
Le loup-garou
ARNO HOLZ
Soir de lune
Un violon retentit
Peu à peu le soleil perce
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire