lundi 29 octobre 2012

121029 - LECTURE - Charles BAUDELAIRE - Les fleurs du mal


LES FLEURS DU MAL (1861)

SPLEEN ET IDEAL

LXXVI - Spleen
J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.
LXXVII - Spleen
Je suis comme le roi d'un pays pluvieux,
LXXVIII - Spleen
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
LXXIX - Obcession
LXXX - Le goût du néant
LXXXI -  Alchimie de la douleur
LXXXII - Horreur sympathique
LXXXIII - L'Héautontimorouménos 
LXXXIV - L'irrémédiable
LXXXV - L'horloge

TABLEAUX PARISIENS

LXXXVI - Paysage
LXXXVII - Le soleil
LXXXVIII - A une mendiante rousse
LXXXIX - Le cygne
XC - Les sept vieillards
XCI - Les petites vieilles
XCII - Les aveugles
XCIII - A une passante
XCIV - Le squelette du laboureur
XCV - Le crépuscule du soir
XCVI - Le jeu
XCII - Danse macabre
XCVIII - L'amour du mensonge
XCIX - Je n'ai pas oublié, voisine de la ville
C - La servante au grand coeur dont vous étiez jalouse
CI - Brumes et pluies
CII - Rêve parisien
CIII - Le crépuscule du matin

LE VIN

CIV - L'âme du vin
CV - Le vin des chiffonniers       
         
 

samedi 27 octobre 2012

121028 - LECTURE - Jean TEULE - Je, François Villon



Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a appris le grec et le latin à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les étudiants, les curés, les protituées, les assassins, les poètes et les rois.
Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps et a disparu un matin sur la route d'Orléans.
Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté.

Après Rimbaud et Verlaine, Jean Teulé ne pouvait mieux clore son voyage en Poésie qu'en endossant avec orgueil et humilité les haillons magnifiques de François Villon.

101227 - LECTURE - Bert HÖLLDOBLER & Edward O. WILSON - L'incroyable instinct des fourmis



   Parmi toutes les espèces de fourmis, il en est une qui, durant des centaines de millions d'années, a connu un extraordinaire succès évolutif : les fourmis coupeuses de feuilles, à l'origine , des premières "sociétés agricoles", et ce bien avant l'homme de l'époque néolithique. S'appuyant sur une très riche iconographie et sur les études les plus récentes, ce livre décrit l'éclosion et le développement de leur exceptionnelle civilisation instinctuelle: communication, coopération, division du travail, mutualisme, défense, solidarité, hiérarchie, sacrifice, hygiène...
 
          Ces fourmis d'Amérique tropicale; dont les colonies jouent un rôle fondamental dans l'écologie des forêts, des savanes et des prairies, sont le plus remarquable de tous les super organismes jamais découverts. Des vols nuptiaux au décès de la reine, du travail de ses millions de descendantes à la culture de leur champignon nourricier, du chef-d'oeuvre architectural de leur nid au million de neurones de leur cerveau formidablement structuré, tout chez ces fourmis champignonnistes provoque l'émerveillement.

vendredi 26 octobre 2012

121026 - LECTURE - Jacques CHESSEX - Dans la buée de ses yeux


On le remarque depuis plusieurs années: le talent de Jacques Chessex produit des fruits de plus en plus beaux, de plus en plus succulents, de plus en plus achevés. Peut-être que la jonction s’opère de plus en plus parfaitement, chez lui, entre le poète qu’il fut dès ses débuts, le romancier à succès qu’il devint par la suite…
Dans la buée de ses yeux
, «chronique» d’une rencontre et de ses lendemains, se hisse insensiblement au-delà de l’anecdote. Même si reste douloureusement présente à l’esprit du narrateur la précarité de tous les attraits et de toutes les attirances, il demeure en ceux-là et en ceux-ci comme un reflet, un parfum, un besoin d’éternité. Cela donne des pages qu’il faudrait citer tout entières. Tout y est juste. La tension vers la perfection de l’écriture jamais ne s’y relâche.
Myriam, c’est le nom de l’Elle de l’histoire, est la médiatrice en gloire dont le poète dessine l’aura comme les peintres médiévaux la mandorle christique. Elle élève et constitue le seul rempart face au gouffre, au vide et à la mort. Mais le poète sait le danger qu’il y a à idolâtrer la créature, si belle et si digne d’amour fût-elle. Aussi discerne-t-il en Elle ce qui provient de l’au-delà des mots, de l’Ailleurs dont, on n’est pas proche pour rien de l’évêque d’Hippone et de la pensée platonicienne, la créature est la représentation plus ou moins illuminée ou plutôt lumineuse. «Dans» ou plutôt «derrière» la buée de ces yeux-là fulgure un rayon d’éternité. Seuls ceux qui n’ont pas suivi le cheminement de Jacques Chessex depuis des décennies seront surpris par la forme qu’a prise, cette fois, ce qu’on ose nommer son génie de l’écriture…

JEAN-CLAUDE JOYE
, L’Express


jeudi 25 octobre 2012

101225 - LECTURE - Charles BAUDELAIRE - Les fleurs du mal


LES FLEURS DU MAL (1861)

SPLEEN ET IDEAL
  XLVI L'aube spirituelle
XLVII - Harmonie du soir
XLVIII - Le flacon
XLIX - Le poison
L - Ciel brouillé
LI - Le chat
LII - Le beau navire
LIII - L'invitation au voyage
LIV - L'irréparable
LV - Causerie
LVI - Chant d'automne
LVII - A une Madone
LVIII - Chanson d'après-midi
LIX - Sisina
LX - Franciscae meae laudes
LXI - A une dame créole
LXII - Moesta et errabunda
LXIII - Le revenant
LXIV - Sonnet d'automne
LXV - Tristesses de la lune
LXVI - Les chats
LXVII - Les hiboux
LXVIII - La pipe
LXIX - La musique
LXX - Sépulture
LXXI - Une gravure fantastique
LXXII - Le mort joyeux
LXXIII - Le tonneau de la haine
LXXIV - La cloche fêlée
LXXV - Spleen
              

mercredi 24 octobre 2012

121024 - FILM TV - La Chute

  • Date de sortie
    (2h 30min
  • Réalisé par
  • Avec
  • Genre
  • Nationalité

    Synopsis et détails


    Berlin, avril 1945. Le IIIe Reich agonise. Les combats font rage dans les rues de la capitale. Hitler, accompagné de ses généraux et de ses plus proches partisans, s'est réfugié dans son bunker, situé dans les jardins de la Chancellerie.
    A ses côtés, Traudl Junge, la secrétaire particulière du Führer, refuse de l'abandonner. Tandis qu'à l'extérieur la situation se dégrade, Hitler vit ses dernières heures et la chute du régime.