Gratte-cielTahsin YÜCELTitre original : Gökdelen, 2006 Traduction de Noémie CINGÖZ Traduction révisée par Timour MUHIDINE ACTES SUD, mai 2012 LE POINT DE VUE DES EDITEURS Istanbul, 2073 : l'un des plus grands avocats de Turquie est mandaté par un promoteur surnommé le New-Yorkais. Architecte richissime, ce bâtisseur a déjà fait sortir de terre une centaine de gratte-ciel, mais il se trouve alors stoppé dans l'avancée pharaonique de son projet par un vieil homme, un modeste propriétaire, qui depuis des mois lui refuse son petit bout de jardin et sa modeste maison, espace violemment convoité pour son point de vue exceptionnel. Pour parvenir à ses fins et exproprier le pauvre bougre, l'avocat échafaude une stratégie démoniaque : alors que les dirigeants turcs vendent depuis plusieurs années tout ce qui leur passe par la tête — jusqu'à l'université d'Istanbul au passé prestigieux — , la seule solution pour parvenir à satisfaire son client serait selon lui de privatiser... la justice.
Une telle éventualité suffit, dans l'instant, à faire tourner la tête du New-Yorkais.
Parabole de l'irrésistible évolution de la vie économique,
de la privatisation des institutions et de l'américanisation de la
ville d'Istanbul, ce roman d'anticipation démasque les faux-semblants de
la société turque et met en scène, non sans mélancolie, la communauté
des exclus, qui finira par prendre d'assaut la ville oublieuse.
Tahsin
Yücel est né en 1933 en Anatolie centrale, où il a grandi. Il y puise
une pan importante de son inspiration, qui oscille entre évocation d'un
milieu semi-rural et conte moderne. Professeur de littérature française à
l'université d'Istanbul, il mène une triple vie d'enseignant, de
romancier et de traducteur. Après La Moustache, publié en 2009, ce livre est son deuxième roman publié aux éditions Actes Sud.
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mardi 31 juillet 2012
120801 - LECTURE - Tahsin YÜCEL - Gratte-ciel
120731 - TRAVAIL - 4EME VAGUE - 1EME JOUR
VILLE LA GRAND
BONNE
CONTAMINES MONTJOIE
SAINT GERVAIS LES BAINS
DOMANCY
SALLANCHES
BRIDES LES BAINS
LA CLUSAZ
LE GRAND BORNAND
samedi 28 juillet 2012
120728 - LECTURE - Hugo HAMILTON - Le Marin de Dublin
Les gens
disent qu’on naît innocent, mais ce n’est pas vrai. On hérite de toutes
sortes de choses auxquelles on ne peut rien. On hérite de son identité,
de son histoire, comme d’une tache de vin indélébile. » L’héritage dont
le narrateur du Marin de Dublin est le malheureux et innocent
dépositaire – lui parle même de « péché originel » –, c’est une
généalogie à la fois complexe et houleuse : un père plus qu’autoritaire,
nationaliste irlandais régnant en despote pas vraiment éclairé sur sa
famille ; une mère allemande, ascendance extrêmement lourde à porter
dans cette Irlande de l’après-guerre.
On reconnaît là la trame qui, déjà, soutenait Sang impur (éd. Phébus,
2005), un précédent roman, superbe transposition fictionnelle de sa
propre enfance difficile. De Sang impur, Le Marin de Dublin est en
quelque sorte la suite : voici, à la fin des années 60, l’enfant devenu
adolescent, et qui, las de subir cette famille qui est comme « une
usine à cauchemars » – « D’autres familles étaient obsédées par le
sport, la musique ou la danse irlandaise […] Nous avons développé un
talent tout particulier pour nous inventer des peurs et des cauchemars… »
–, décide de se choisir une nouvelle identité. Adoptant pour cela le
prénom de son grand-père paternel, « un marin aux yeux doux » qu’il n’a
jamais connu. Comme son aïeul, l’adolescent veut prendre la mer et
s’engage dans l’équipage d’un chalutier, l’espace d’une saison. « Je
vais enfin m’enfuir et gagner mon innocence. Adieu le passé et le
ressentiment. Adieu la honte », dit le jeune homme. La réussite de ce
roman d’apprentissage sensible, peuplé de personnages dotés d’une belle
épaisseur, tient avant tout à la qualité de cette voix, qui semble
effectivement émaner directement de l’adolescence de l’auteur, vive et
intacte – tout comme ses émotions retrouvées.
Nathalie Crom
Traduit de l’anglais (Irlande) par Katia Holmes, éd. Phébus, 304 p., 20
€.
Le 26/05/2007
Nathalie Crom - Telerama n° 2993 |
vendredi 27 juillet 2012
120727 - TILM TV - Morgen
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mercredi 25 juillet 2012
120725 - ECOUTE - Richard WAGNER - La Vaisseau Fantôme
25 juillet 2012 20:00
En léger différé du Festival de Bayreuth : Richard Wagner, Der Fliegende Holländer WWV 63 (1840,1841)
Franz-Josef Selig, Basse, Daland
Adrianne Pieczonka, Soprano, Senta
Michael König, Ténor, Erik
Christa Meyer, Soprano, Mary
Benjamin Bruns, Ténor, Daland's Steersman
Evgeny Nikitin, Basse, The Dutchman
Bayreuth Festival Chorus
Eberhard Friedrich, Direction
Bayreuth Festival Orchestra
Christian Thielemann, Direction
Jan Philipp Gloger, Mise en scène
Concert donné au Festspielhaus de Bayreuth.
Personnages
- Le Hollandais (baryton-basse)
- Daland, un marin norvégien (basse)
- Senta, sa fille (soprano)
- Erik, un chasseur (ténor)
- Mary, nourrice de Senta (mezzo-soprano)
- Le pilote de Daland (ténor)
- Matelots norvégiens, l’équipage du Hollandais volant, jeunes filles
Orchestration
L'effectif orchestral comprend : 1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, 1
cor anglais, 2 clarinettes, 2 bassons ; 4 cors, 4 trompettes, 3
trombones, 1 tuba ; timbales, machine à vent, tam-tam ; harpe, violons,
altos, violoncelles, contrebasses.
Argument
Le prélude est remarquable ; c'est la première fois que Wagner
emploie réellement et avec brio le leitmotiv dans une ouverture d'opéra
dont la fonction sera dorénavant de résumer l'action. Le prélude
commence ex abrupto par le motif vif, féroce, et orageux du
Hollandais Volant, l'orchestration atteint déjà un degré de fureur
incroyable. Mais le navire mouille sur une côte et l'orchestre s'apaise
peu à peu. Le motif du Hollandais est réexposé piano: il espère briser la malédiction. Introduction du motif de Senta (extrait de sa "ballade")
Acte I
Pris dans une tempête, le vaisseau norvégien de Daland est obligé de
mouiller dans une baie de la côte norvégienne loin de leur village,
alors que Daland se voyait déjà retourner auprès de sa fille Senta.
Laissant son pilote (Steuermann) veiller, Daland va se reposer.
Le vaisseau maudit du Hollandais arrive, et celui-ci, dans un grand
air très dramatique, se désespère de son sort qui l'oblige à errer sans
cesse sur les océans pour l'éternité, à moins qu'une femme ne soit
capable de l'aimer de manière absolue, jusque dans la mort s'il devait
en être ainsi. Sur ces entrefaites, Daland se réveille, remarque
l'arrivée du vaisseau du Hollandais, et sermonne son pilote qui s'était
entretemps endormi.
Daland et le Hollandais se saluent ; dans la discussion le Hollandais
mentionne les richesses que transporte son bateau, éveillant aussitôt
l'avidité de Daland. Cependant, pour obtenir ses richesses, Daland devra
lui donner sa fille en mariage.
Acte II
Au village, les femmes attendent le retour des marins. Senta chante
la complainte du Hollandais volant, condamné à errer éternellement sur
les mers. Elle ne cesse de penser à lui, malgré les mises en garde de
Mary.
Sur ce, Daland est de retour, bientôt suivi par le Hollandais. Malgré
les protestations de son fiancé, Erik le chasseur, Senta décide
d'épouser le Hollandais par pitié pour ses souffrances.
Acte III
Erik essaie une dernière fois de convaincre Senta de renoncer à ce
mariage, en lui rappelant leurs engagements. Senta doute un peu, et sur
ces entrefaites le Hollandais arrive et croit que Senta, elle aussi, lui
est infidèle.
Il appareille alors précipitamment, croyant comprendre que son sort
est scellé pour l'éternité, et voulant épargner à Senta la damnation
éternelle s'ils se marient et qu'elle lui est infidèle par la suite.
Dans un ultime geste de fidélité, Senta se jette du haut de la falaise,
permettant ainsi la rédemption du Hollandais et leur union dans
l'éternité.
120725 - FILM TV - Les Brulantes
99 femmes (Les brûlantes)
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lundi 23 juillet 2012
120723 - ECOUTE - Mikhail GLINKA - Une vie pour le Tsar
♫ Opéra en quatre actes et un épilogue sur un livret de Yegor Rosen et
Vassily Joukovsky. Crée au Théâtre impérial Bolchoï Kamenny de
Saint-Pétersbourg le 9 décembre 1836. Gennadi Bezzubenkov, Basse, Ivan Soussanine Аlbina Shagimouratova, Soprano, Antonida, sa fille Alisa Kolosova, Contralto, Vania, son fils adopté Dmytro Popov, Ténor, Bogdane Sobinine, fiancé d'Antonida Piotr Migunov, Ténor, Un message polonais Andrej Valentij, Basse, Un chef de régiment polonais et soldat russe dans l’Epilogue Chœur de Radio France Pavel et Andrei Petrenko, Chefs de chœur Margarita Petrossyan, Chef de chant Orchestre Philharmonique de Radio France Alexander Verdernikov, Direction En 1836, Mikhaïl Glinka fait représenter à Saint-Pétersbourg Une Vie pour le Tsar, premier opéra russe basé sur un fait historique authentique à un moment crucial pour le devenir de la nation : en 1613 le paysan Ivan Soussanine sacrifie sa vie pour sauver celle du Tsar Mikhaïl Feodorovitch, premier de la dynastie des Romanov, qui allait être victime d'un complot monté par les envahisseurs polonais. Fresque épique largement imprégnée d'intonations de chants populaires, tout en étant nécessairement redevable à l'art vocal italien - Glinka avait auparavant passé trois années en Italie pour se former au bel canto - Une Vie pour le Tsar a initié une des grandes lignes de force de l'opéra russe, celle de la thématique historique, dont sera issu Boris Godounov de Moussorgski. De même, le rôle central, confié à une voix de basse, campe un personnage ayant une stature à l'échelle nationale. Initialement l'opéra devait être intitulé Ivan Soussanine ; le changement de titre aurait été suggéré par le Tsar Nicolas 1er, afin de souligner le message tsariste de l'ouvrage, en ces années d'exaltation du régime autocratique. En URSS, après avoir été longtemps mis au rebut, l'opéra de Glinka avait été repris pourvu de son titre initial, avec un livret totalement réécrit dans le sens du patriotisme populaire, supprimant toute allusion à la monarchie. Aujourd'hui, le livret d'origine a tout naturellement retrouvé ses droits. |
120723 - FILM TV - Cuba Feliz
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samedi 21 juillet 2012
120722 - FILM TV - Buffalo Bill
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vendredi 20 juillet 2012
120720 - LECTURE - Haruki MURAKAMI - 1Q84
120720 - TRAVAIL - 3EME VAGUE - 4EME JOUR
- THONON LES BAINS
- ALLINGES
- EVIAN LES BAINS
- Chantal & Philippe à MAXILLY
- LUGRIN
- CHATEL
- Déjeuner à MARGENCEL
- MARGENCEL
- VEIGY FONTENEX
- LOISIN
- Retour à CRANVES SALES
120719 - TRAVAIL - 3EME VAGUE - 3EME JOUR
- GAILLARD
- FERNEY VOLTAIRE
- GEX
- SAINT JULIEN EN GENEVOIS
- COLLONGES SOUS SALEVE
- Déjeuner à CHAMBERY
- CHAMBERY
- Dépôt de Presse à CHAMBERY
- LE BOURGET DU LAC
- DRUMETTAZ CLARAFOND
- SERRIERES EN CHAUTAGNE
120718 - TRAVAIL - 3EME VAGUE - 2EME JOUR
- SAINT-MARTIN BELLEVUE
- Dépôt de Presse à CRAN-GEVRIER
- GRAND EPAGNY
- ANNECY
- ANNECY LE VIEUX
- Dépôt de Presse à ALBERTVILLE
- ALBERTVILLE
- BRIDES LES BAINS
- Déjeuner à BRIDES LES BAINS
- Dépôt de Presse à ALBERTVILLE
- BRIDES LES BAINS
- Dépôt de Presse à ALBERTVILLE
- Retour CRANVES SALES via UGINE, MEGEVE, SALLANCHES
mardi 17 juillet 2012
120717 - TRAVAIL - 3EME VAGUE - 1ER JOUR
- VEHICULE LOCATION A VILLE LA GRAND
- DEPOT DE PRESSE A VILLE LA GRAND
- SAINT GERVAIS LES BAINS
- CONTAMINE MONTJOIE
- DOMANCY
- SALLANCHES
- RESTAURANT "LA FERME" A LA CLUSAZ
- LA CLUSAZ
- LE GRAND BORNAND
- VIUZ EN SALLAZ
- BONNE
- ANNEMASSE
dimanche 15 juillet 2012
120715 - FILM TV - Strella
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120715 - FILM TV - Ulzhan
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120715 - TV - Johnny Cash at Folsoom Prison
Synopsis de Johnny Cash at Folsom Prison
En 1968, après des années de dépendance à la drogue et à
l'alcool, Johnny Cash parvient à décrocher. Son idée pour relancer sa
carrière : enregistrer un album live dans un pénitencier de Californie.
Personne, pas même Cash lui-même, ne peut alors imaginer que «At Folsom
Prison» sera l'un de ses meilleurs albums, un testament qui, quarante
ans après, résonne encore, débordant de révolte, d'humour et de
sincérité. Ce documentaire plonge dans le mythe de Folsom, revient sur
la personnalité du «man in black» et relate les difficultés qui ont
entouré cet enregistrement légendaire, dont il n'existe aucune image
filmée.
La critique TV de télérama du 14/07/2012
Le 13 janvier 1968,
Johnny Cash entre à la prison d'Etat de Folsom (Californie). Non pas
pour y purger une peine (même si le roi de la country avait été arrêté
quatre ans plus tôt pour possession de stupéfiants), mais pour donner un
concert devant les détenus réunis.
L'enregistrement
de cette matinée mémorable sera l'un des plus gros succès publics et
critiques de Cash. C'est l'histoire étonnante de cette prestation que
reconstitue le documentaire de Bestor Cram. Un exploit narratif alors
qu'il n'existe aucune archive
filmée du show... Le réalisateur utilise magnifiquement les
planches-contacts du photographe Jim Marsh et illustre trois titres
emblématiques de « l'homme en noir » par des courts métrages d'animation
inventifs.
Au-delà de la musique, le film
rappelle le combat de Johnny Cash pour améliorer la condition des
prisonniers. Et bouleverse quand il raconte le destin tragique de Glen
Sherley, le taulard brisé par sa liberté retrouvée. Incarcéré à Folsom,
ce compositeur amateur obtint une remise de peine grâce à Cash, qui le
fit jouer en première partie de sa tournée. Mais ne put l'empêcher de
sombrer dans l'alcool et la violence. — Samuel Douhaire
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samedi 14 juillet 2012
120713 - NOUVELLE VOITURE
120712 - TRAVAIL - ANNECY
- SAINT-MARTIN BELLEVUE
- GRAND EPAGNY (AUCHAN)
- ANNECY
- ANNECY LE VIEUX
- AUBERGE DE LA MARETTE à THONES
- LA CLUSAZ
- LE GRAND BORNAND
- DOUVAINE
mercredi 11 juillet 2012
120711 - FILM TV - Insane
mardi 10 juillet 2012
120710 - LECTURE - Oliver PERU - Druide
Résumé 1123 après le Pacte. Au nord vivent les hommes du froid et de l’acier, au sud errent les tribus nomades et au centre du monde règnent les druides. Leur immense forêt millénaire est un royaume d’ombres, d’arbres et de mystères. Nul ne le pénètre et tous le respectent au nom du Pacte Ancien. Les druides, seigneurs de la forêt, aident et conseillent les hommes avec sagesse mais un crime impensable bouleverse la loi de toutes les couronnes : dans la plus imprenable citadelle du Nord, quarante-neuf soldats ont été sauvagement assassinés sans que personne ne les entende seulement crier.
Certains voient là l’oeuvre monstrueuse
d’un mal ancien, d’autres usent du drame comme d’un prétexte pour
relancer le conflit qui oppose les deux principales familles régnantes.
Un druide, Obrigan, et ses deux apprentis ont pour mission de retrouver les assassins avant qu’une nouvelle guerre n’éclate. Mais pour la première fois, Obrigan, l’un des
plus réputés maître loup de la forêt, se sent impuissant face à
l’énigme sanglante qu’il doit élucider… Chaque nouvel indice soulève des
questions auxquelles même les druides n’ont pas de réponses.
Une seule chose lui apparaît certaine : la mort de ces quarante-neuf innocents est liée aux secrets les plus noirs de la forêt.
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lundi 9 juillet 2012
120709 - FILM TV - La chasse
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120709 - LECTURE - Marguerite DURAS - L'Amant
dimanche 8 juillet 2012
120708 - FILM TV - A l'est d'Eden
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vendredi 6 juillet 2012
120707 - FILM TV - Je n'ai rien oublié
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120705 - TRAVAIL - VALLEE DE L'ARVE
- CHAMONIX MONT BLANC
- SAINT GERVAIS LES BAINS
- CONTAMINES MONTJOIE
- DOMANCY
- SALLANCHES
- VIUZ EN SALAZ
- Restaurant "Le Palmier" à BONNE
- BONNE
- Véhicule de location à VILLE LA GRAND
- ANNEMASSE
120704 - TRAVAIL - CHABLAIS
- THONON LES BAINS, Grande Rue
- THONON LES BAINS, Place des Arts
- THONON LES BAINS, Ave d'Evian
- ALLINGES
- EVIAN LES BAINS
- LUGRIN
- CHÂTEL
- Cafeteria "Crescendo" à MARGENCEL
- MARGENCEL
- LOISIN
- VEIGY FONCENEX
120703 - TRAVAIL - PAYS DE GEX ET PAYS GENEVOIS
- Véhicule location VILLE LA GRAND
- Dépôt de VILLE LA GRAND
- GAILLARD, Ave de Genève
- COLLONGES SOUS SALEVE
- SAINT JULIEN EN GENEVOIS, Rue Amédée VIII de Saboie
- SAINT JULIEN EN GENEVOIS, Avenue de Mossingen
- Crèperie "Ti-Breith" à FERNEY VOLTAIRE
- FERNEY VOLTAIRE
- GEX
- ETREMBIERES
lundi 2 juillet 2012
120702 - Jacques FERRANDEZ & Maurice ATTIA - Alger la noire
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