mercredi 31 mars 2010

100330 - 74 - CRANVES SALES




Depuis les froidures de cet hiver,
une petite chatte S.D.F.
a élu domicile chez nous.
Hier soir, Zoé 'c'est son nom)
a mis au monde ce chaton
et depuis elle materne.

lundi 29 mars 2010

100325 - ANNEMASSE - CHATEAU ROUGE


Omara Portuondo


Cuba

Omara Portuondo a grandi dans un havre de paix et d’harmonie où régnait la musique cubaine. Elle accède à une belle carrière internationale en rencontrant Juan de Marcos Gonzalez, l’homme qui ressuscita le big band cubain des années 50, avec le légendaire Buena Vista Social Club. Il l’invite à chanter Veinte anos avec Compay Segundo et surtout le sublime Silencio en duo avec Ibrahim Ferrer. Omara Portuondo transporte le public des cabarets et des boîtes de nuit de La Havane et du monde depuis plus d’un demi-siècle avec l’honnêteté passionnée et émouvante de sa voix. Pourtant, comme Ibrahim Ferrer, elle a dû attendre l’album du Buena Vista pour connaître une véritable reconnaissance internationale. Accompagnée d’un quintet d’exception, Omara Portuondo propose pour ce concert un répertoire qui révèle toute la richesse et la maturité d’une interprète en pleine possession de son talent. Les chansons sont des ré-interprétations du répertoire cubain, un florilège de merveilleux tableaux, chacun absolument unique. Mais la grande diva cubaine dévoile également une autre facette de son sens de l’émotion et de la passion, avec un répertoire entre "filin", jazz et boléro.









lundi 22 mars 2010

100319 - 74 - ARCHAMPS - CINE GAUMONT



La Rafle






Drame de Roselyne Bosch

avec Gad Elmaleh, Jean Reno, Mélanie Laurent...

Durée : 2H04

Tout public


Un film sur la rafle du Vel' d'Hiv', dont furent victimes plus de 13 000 juifs français, parmi lesquels de nombreux enfants, les 16 et 17 juillet 1942.

Résumé

En cet été 1942, Joseph, 11 ans, voit son monde se fissurer. Depuis quelques mois, on l’oblige à porter une étoile jaune. Il n’a plus le droit d’aller au manège du square, interdit aux Juifs. Le 16 juillet, la police française débarque dans son immeuble et oblige hommes, femmes et enfants de confession israélite à abandonner leurs biens et à s’entasser dans des camions. Direction le Vélodrome d’Hiver où 13 000 Juifs sont entassés pendant plusieurs jours dans des conditions d’hygiène terrifiantes. Une décision prise par la France de Vichy pour plaire à Hitler. Joseph et sa famille sont ensuite envoyés dans le camp de Beaune-la-Rolande, dans le Loiret. Après plusieurs semaines d’internement, les parents sont séparés de leurs enfants et envoyés vers les camps de la mort. Resté seul, Joseph décide de s’échapper…

Dans son deuxième long-métrage, Rose Bosch raconte avec une tendresse et une émotion pudiques un épisode tragique de la grande Histoire, à travers les parcours individuels de plusieurs personnages, qu’elle a voulu réels. « Je suis tombée sur des interviews d’une infirmière. J’ai retrouvé le témoignage d’un pompier qui racontait comment son capitaine avait désobéi et fait donner à boire à tous les gens enfermés dans le vélodrome. Tous ces détails-là sont vrais et à partir de tout ça, j’ai composé une histoire et des personnages. Pour que chacun comprenne que cela peut se reproduire. »

100314 - 38 - VIZILLE



Promenade familiale à Vizille ...

100313 - 74 - ANNEMASSE - CINE ACTUEL





A SERIOUS MAN



Date de sortie cinéma : 20 janvier 2010
Film disponible en DVD le : 25 mai 2010

Réalisé par Joel Coen, Ethan Coen
Avec Michael Stuhlbarg, Sari Lennick, Richard Kind, plus


Long-métrage américain. Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h45 min Année de production : 2008
Distributeur : StudioCanal


Larry Gopnik, à part son nom, a de la chance. Il est américain, vit dans la quiétude pré-psychédélique des années 1960, a une famille sans histoire et habite une jolie banlieue résidentielle du Midwest où il enseigne la physique à l'université. Cet homme tranquille, modeste, sérieux donc, et qui ne demande rien à personne, allez savoir pourquoi les frères Coen ont décidé, dans A Serious Man, de lui pourrir la vie. Une évocation fidèle du film passe, de fait, par l'énumération des avanies qui, du jour au lendemain, se mettent à lui tomber sur le paletot comme les plaies d'Egypte.

D'abord, le cercle familial. Sa femme, Judith, brune vindicative, lui annonce un beau matin qu'elle le tient pour un cloporte, demande le divorce et le quitte pour Sy Ableman, dont elle est tombée amoureuse. Outre son insigne laideur et son obésité, Sy est un sentencieux imbécile, qui passe son temps à faire la leçon à Larry, nonobstant le fait qu'il lui pique sa femme. Le pauvre père ne trouve pas en ses enfants, deux monstres d'égoïsme pré-pubères, le moindre réconfort. Danny, le fils, est trop occupé à résoudre de lamentables embrouilles à l'école hébraïque. Sarah, la fille, ne songe qu'à se refaire le nez, en volant dans le portefeuille de son père. Cerise sur le gâteau familial : Arthur, le frère de Larry, chômeur chronique installé à demeure sur le canapé-lit du salon, quand il n'occupe pas la salle de bains pour drainer son kyste, inaugure à présent une carrière d'obsédé sexuel dans le Dakota.

Larry n'a même pas la ressource de se réfugier dans le travail. A l'université, il est calmement persécuté par un étudiant asiatique qui veut lui acheter son diplôme, et fait l'objet de lettres anonymes calomnieuses qui mettent en péril sa titularisation. Par ailleurs, son voisinage prend des allures dangereuses, entre le crypto-fasciste goy du pavillon mitoyen qui empiète sur sa pelouse, et le sex-appeal de Mme Samsky, quadragénaire de rêve et fumeuse de substances hallucinogènes, qui entrouvre sous les pieds de Larry le terrifiant abîme de la jouissance.

Sonné par ce déchaînement de malheurs, Larry n'aura d'autre recours que celui de se tourner vers les autorités traditionnelles de sa communauté : les rabbins. Ces visites, qui émaillent le film en montant progressivement dans la hiérarchie rabbinique, se révèlent désespérément infructueuses, et d'autant plus savoureuses que le protocole solennel qui les entoure révèle à chaque fois une coquille métaphysique totalement vide, soutenue par des paraboles abracadabrantes de parking ou de dentiste. C'est le fond de désespoir propre à ce film extrêmement drôle, qui inflige finalement à son héros une souffrance digne de sa seule passion : l'inconsistance.

A Serious Man livre ainsi, pour la première fois de manière aussi explicite, une clé essentielle de l'oeuvre des frères Coen : sa filiation avec la culture juive américaine. La spécificité de ladite culture étant précisément sa difficulté à se situer par rapport à une filiation. Pour deux raisons : l'acculturation rapide de la communauté juive aux Etats-Unis, et sa sourde culpabilité devant l'anéantissement qui frappa, à travers le judaïsme est-européen, son terreau originel, dans sa forme traditionnelle (le monde de l'étude religieuse) ou profane (la langue et la littérature yiddish, la lutte politique pour l'émancipation). Le judaïsme américain devient donc au XXe siècle l'incarnation exemplaire d'un judaïsme que la modernité dilue dans l'incertitude identitaire et la perte de ses repères. Existentiellement douloureuse et spirituellement angoissante, cette situation se révèle artistiquement fructueuse, notamment sur le plan d'un des derniers "traits juifs" pouvant prétendre à la pérennité : l'humour.

L'inspiration des frères Coen peut ainsi être rattachée à une tradition qui prendrait sa source chez les classiques européens de la littérature yiddish au début du XXe siècle (et au premier chef Cholem Aleikhem), se prolongerait au mitan de ce même siècle avec le répertoire des comiques se produisant dans les monts Catskill (lieu de villégiature des juifs new-yorkais, où débutèrent notamment Lenny Bruce et Jerry Lewis) avant de s'américaniser dans les années 1960 à travers les romanciers de l'Ecole de New York (Philip Roth, Bruce J. Friedman, Saul Bellow...), cette fois sous les auspices kafkaïens de l'absurde et du grotesque.

A Serious Man fournit quelques arguments à cette hypothèse, à commencer par le caractère autobiographique du film, situé dans une époque, une région et une sociologie dans lesquelles baigna la jeunesse des frères. Mais c'est aussi bien sa stupéfiante séquence d'ouverture, qui constitue un véritable coup de force dramaturgique : un apologue en noir et blanc, situé en Europe orientale, dialogué en yiddish, et inventé de toutes pièces par les cinéastes, à mi-chemin entre conte traditionnel et film gore. Entre ce prologue fantasmé et l'histoire du martyr Larry Gopnik, c'est bien un monde perdu qui gît dans le raccord. Quitte à renaître en dibbouk persécuteur, pour hanter l'un des plus grands films des frères Coen.

100312 - 74 - ANNEMASSE - CHATEAU ROUGE


William Sheller « Piano Solo »





Ex-fan des groupes des sixties autant que de Bach ou Beethoven, William Sheller est un des rares compositeurs et chanteurs français à avoir construit son répertoire sur la base d'une exceptionnelle formation classique. En 40 ans de carrière et au fil des albums, il expérimente les mélanges entre musique classique et musique actuelles. Une belle trajectoire jalonnée de titres phares comme Fier et fou de vous ou Un homme heureux.

Noble et sentimental, dandy précis qui ne se laisse jamais enfermer dans un style.
En concert, il fait rêver le public, dialogue avec lui. Il est juste là pour retrouver le temps perdu, renouer avec un souvenir et, sans nostalgie particulière, partager un moment rare de musique et de poésie. Il nous offre un univers intimiste, sensible et plein d'émotions…

100311 - 74 - ANNEMASSE - CHATEAU ROUGE



Victor Démé

Burkina Faso

Après trente-cinq ans de carrière sur les scènes des maquis de Bobo Dioulasso, de Ouagadougou ou d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, Victor Démé a brassé les influences et approfondi son chant. Il est rentré en studio pour la première fois et y a enregistré ce disque, fruit d’une vie de pérégrinations musicales, de rencontres et d’expériences. A la fois grave et chaleureux, Démé chronique en dioula le quotidien burkinabé et oscille avec un incomparable charme, entre blues renversant, résonances latines et traditionnel mandingue. Il raconte les femmes africaines sur un folk blues africain, appelle à la tolérance, la solidarité et la beauté avant de conclure sur deux morceaux traditionnels. Ses compositions témoignent de toute son expérience. Simple et profond, ce concert présente au public toute la qualité du répertoire de ce chanteur hors pair et toute la richesse culturelle de son pays.

+

Kady Diarra






Kady Diarra, avec un univers musical ancré dans la culture burkinabé, des instruments tels que le balafon, le djembé et le n'goni, mixe les influences notamment avec l'accordéon du réunionnais René Lacaille ou le blues du canadien Marc-André Léger. Cette chanteuse rayonne et sa musique transmet une joie communicative qui enivrera plus d'un spectateur.










100228 - CINEMA GAUMONT - ARCHAMPS


The Ghost Writer - VF

Thriller de Roman Polanski

avec Ewan Mc Gregor, Kim Catrall, Pierce Brosnan...

Durée : 2h08

Tout public


Résumé

The Ghost, un " écrivain - nègre " à succès est engagé pour terminer les mémoires de l'ancien Premier ministre britannique, Adam Lang. Mais dès le début de cette collaboration, le projet semble périlleux : une ombre plane sur le décès accidentel du précédent rédacteur, ancien bras droit de Lang...




100307 - 74 - ARGENTIERES



Promenade déjà printanière dans
les dernières neiges ...

100305 - 74 - LE SAPPEY


Contes et légendes du Salève
au SAPPEY

100304 - 74 - CRANVES SALES


bienvenu au club des

60

100304 - 74 - LES HOUCHES


Contes dans la résidence
PIERRE & VACANCES

1002028 - 74 - ARCHAMPS - CINEMA GAUMONT


Date de sortie cinéma 24 février 2010
Film disponible en DVD le : 24 juin 2010
Film disponible en Blu-ray le : 24 juin 2010

Réalisé par Martin Scorsese
Avec Leonardo DiCaprio, Mark Ruffalo, Ben Kingsley, plus


Interdit aux moins de 12 ans
Long-métrage américain. Genre Thriller

Durée 2h17 min Année de production 2010

Distributeur : Paramount Pictures France

Synopsis : En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l'île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L'une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d'une malade, ou cryptogramme ?


100224 - 74 - LES CARROZ D'ARACHES


Contes d'après ski pour
PIERRE & VACANCES